Fabriqué et utilisé dans le domaine de transport, le biocarburant a été étudié afin de pallier au problème de la pollution de l’air par les véhicules et vaisseaux aériens. Grâce à diverses formules de carburants biodégradables, dont le biodiésel ou diester, la biomasse et le carburant issus de microorganismes, nous sommes en passe de réduire notre émission de soufre et de micro-particules dans l’atmosphère. Et en plus du maintien de l’activité agricole pour les plantations, nous tournons vers le renforcement de l’indépendance énergétique. Certains utilisateurs les utilisent en les mélangeant aux carburants d’origine pétrolière, d’autres les adoptent exclusivement.

Le biodiésel et le bioéthanol

Le biodiésel ou diester est le premier biocarburant à avoir été élaboré. Fabriqué à partir de plantes oléagineuses, comme le soja, le tournesol et le colza, le biodiesel est destiné aux moteurs diésel. Sa fabrication requiert de l’alcool et s’appelle estérification ou transestérification pour donner 90% de biodiésel (ou huile d’estérification) et 10% de glycérol. Le bioéthanol est élaboré par la fermentation de plantes sucrières telles que la canne à sucre et la betterave, ou encore les céréales comme le blé et le maïs. Afin d’alimenter les moteurs à essence, ces produits sont distillés et transformés en alcool, appelé plus proprement, l’éthanol. Le bioéthanol vient à remplacer le kérosène. D’ailleurs, il a été testé la première fois sur un avion destiné à l’épandage de produits agricoles. La seule exigence de la transformation des plantes en carburant est qu’il faut une vaste surface agricole et l’utilisation de produits phytosanitaires.

La transformation de la biomasse et des microorganismes

Dans la catégorie biocarburant deuxième génération, le carburant issu de la biomasse résulte de la transformation de de divers déchets organiques tels que les herbes et les broussailles, les résidus agricoles et forestiers, les algues marines. La conversion des biomasses en gaz, donc en carburant écologique, consiste soit en la thermochimie (à les porter à haute température puis à les resynthétiser), soit en la méthode biologique (laisser les bactéries, les enzymes et les champignons s’activer pour décomposer les molécules et obtenir, à la fin du processus, de l’éthanol). Ce biokérosène a été essayé plusieurs fois sur des Boeing et se révèle prometteur pour assurer l’avenir de l’aviation renouvelable. Les mêmes microorganismes produisent également à eux seuls des molécules énergétiques lipides, en étant enfermés dans des réacteurs saturés de lumières et de dioxyde de carbone. Ce biocarburant de troisième génération n’occupe pas beaucoup de surfaces agricoles tout en étant rentable et compétitif.

Les avantages du biocarburant

La diminution des émissions de gaz à effet de serre n’est pas l’unique atout des biocarburants. La fabrication des biodiésels et bioéthanols s’avère efficace comme lutte écologique contre le chômage. En effet, cette création d’activité industrielle tournée autour du biocarburant se traduit par une création d’emplois, où danger d’émissions nocives n’a pas de place. Par ailleurs, les carburants écologiques ne risquent pas de nuire au moteur de nos véhicules. Le biodiésel, entre autres, est un excellent solvant qui permet, en plus de le faire fonctionner, d’éliminer les impuretés qui tendent à s’accumuler dans les canalisations, les pompes et les réservoirs. Il suffit de vérifier plus souvent le filtre à carburant.

La pollution de l’air est un facteur incontrôlable du déséquilibre écologique. Les polluants de l’air sont nombreux et d’origines diverses. Le pire c’est qu’ils ne connaissent pas de barrière ; emportées par le vent, les particules polluantes peuvent contaminer l’air au-delà des frontières, même en campagne. D’où proviennent-ils et que peut-on faire pour les réduire ?

Les polluants atmosphériques d’origine industrielle

Plus la population est dense, la ville industrielle, plus la concentration des polluants est forte. Cette dernière varie également en fonction des saisons. En tout cas, la pollution peut s’étendre jusqu’à 800 km aux abords de sa provenance, les aires routières et les grandes industries. Les principaux polluants de l’air, et les plus toxiques pour la santé publique sont l’ozone (O3), le monoxyde de carbone, de dioxyde de soufre et le dioxyde de soufre. Ils peuvent se trouver à tous les stades : de la production en industrie à la consommation ménagère. Les industries sont également à la source de l’émission de métaux lourds (nickel, plomb, cadmium, arsenic et mercure) dans l’atmosphère ; et qui ne restent pas seulement dans l’air, mais se répandent dans le sol et dans les eaux. A tout ceci s’ajoute l’ammoniac déversé dans l’air par le secteur agricole, notamment lors de l’épandage de lisier animal ou la fabrication d’engrais ammoniaqués.

Les moyens de transport : les hydrocarbures et leurs dérivés

Les polluants atmosphériques émis par les moyens de transport (terrestre et aérien) sont aussi considérables. D’ailleurs, les voitures et les avions (gros consommateurs de carburants) sont exhalent les mêmes gaz nocifs que les industries, qui attaquent non seulement la couche d’ozone, mais surtout notre système cardiovasculaire, nos organes de sens (la peau, la vue,…). La plupart des particules, fines, sont même cancérigènes. Le dioxyde d’azote, par exemple, émane de la combustion dans les moteurs diesel des voitures, des bateaux et autres machines industrielles (centrales électriques). Il favorise également la formation des aérosols de nitrate qui représentent la plus grande part d’ozone ( à distinguer de la couche d’ozone, couche de protection atmosphérique). L’ozone est un autre polluant dangereux produit en majeure partie par les moyens de transport routier. L’O3 se forme après la réaction chimique sous l’effet du soleil des mélanges oxydes d’azote – composants organiques volatils issus des hydrocarbures et les solvants utilisés par les véhicules. D’où l’impérieuse nécessité de se tourner vers les voitures écologiques.

Les polluants de l’air d’origine ménagère

Les émissions de gaz polluants d’origine ménagère ne sont pas moindres. Ils proviennent en général des systèmes de chauffage qui reposent sur les combustibles fossiles qui sont le charbon, le pétrole et le méthane. Leur exploitation est à la source du quorum des gaz à effet de serre. En effet, le gaz carbonique est désormais en concentration excessive dans l’atmosphère. Non seulement, ils provoquent le déséquilibre écologique en trouant la couche d’ozone et le réchauffement climatique, les systèmes de chauffage traditionnel des ménagers tendent à épuiser les ressources naturelles de notre planète. Ainsi au lieu de brûler des bois et de puiser les gaz naturels, optons pour l’énergie verte et renouvelable. Par ailleurs, la combustion des déchets ménagers est déconseillée afin de diminuer la production de dioxyde soufre.

Le miscanthus est une plante provenant de l’Asie du Sud-Ouest. Il a une durée de vie de 15 à 20 ans. Il est apparu en France pour la première fois il y a près de 12 ans. Il servait surtout de combustible, mais il peut parfaitement remplacer le pétrole et permet de produire du plastique. Il pourrait également remplacer l’hydrocarbure, ce qui pourrait être une solution assez intéressante face à l’augmentation du prix du pétrole. L’utilisation du miscanthus réduit également les dégâts sur l’environnement. Il promet en effet un plastique 100 % végétal, qui est moins polluant et qui apporte plus d’intérêt au secteur industriel. C’est Polybiom, une entreprise d’agrobio matériaux qui à découvert ce nouveau produit breveté.

Une plastique végétale biodégradable

Un processus de trois étapes est nécessaire pour transformer le miscanthus en plastique. Il subira d’abord l’étape de micronisation qui consiste à le faire bouillir puis à le mettre dans un bain d’eau pour décanter tous ses produits actifs. Il va ensuite être filtré avant d’être polymérisé. Une pâte se formera après ces processus. Ceci sera mélangé avec de la gélatine de bœuf ou de porc. Le produit obtenu est 100 % naturel, constitué de plante, d’eau et d’animal. Il n’y a pas d’autres additifs ajoutés dans l’article pour garder le caractère biodégradable du produit. Selon le directeur au CNRS Polymères et Composites BIO-Sourcés, l’entreprise MSL est capable de produire jusqu’à 8 tonnes par mois de miscanthus sous forme de pâte qui sera ensuite transformée en produit fini. La commercialisation des premiers produits devrait avoir lieu en 2020. Ils seront vendus en Allemagne, Belgique et Canada. La transformation du miscanthus ne requiert pas beaucoup d’intrants ni d’interventions. C’est durant l’implantation et la mise production qu’un investissement est nécessaire pendant la première année. Le miscanthus permet également d’avoir d’autres produits dérivées comme la résine de miscanthus qui permet de fabriquer du polystyrène naturel ou de la colle synthétique ou à l’aide solvant hydrocarbure.

Des vertus écologiques multiples

Le miscanthus peut servir de bio combustible pour les chaudières à biomasse. Il contient en effet un important taux de matières sèches, similaire à celui du bois. Il en est de même pour son pouvoir calorifique de miscanthus. Des agriculteurs l’utilisent déjà dans le paillage agricole et pour la litière animale. Cette plante est en effet très riche en cellulose. Elle a un effet plus absorbant que le blé. Il permet de nourrir tous les bétails en hiver. Beaucoup de communes et de villes l’utilisent également sous forme de paillage pour éviter que les mauvaises herbes ne poussent, tout en préservant l’humidité du sol.

Vous êtes certainement conscient qu’après les fêtes de fin d’année, les déchets s’amoncellent partout. Comme si votre ville, comme toutes les autres dans toute la France, était devenue un énorme dépotoir. Alors, sur le plan personnel ou familial, que pouvez-vous faire pour qu’il y ait moins de déchets dans les bennes à ordures et que votre ville redevienne rapidement vivable et respirable ?

Pour vos arbres de Noël

Pour votre sapin de Noël naturel, ne le jetez pas n’importe où, renseignez-vous sur les endroits où on les collecte et prenez la peine de vous y rendre pour y déposer le vôtre. Sinon, gardez-le chez vous et lorsqu’il sera bien sec, vous pourrez le broyer et en faire soit du bois de chauffe, soit du compost. Vous pouvez aussi vous en servir comme broyat que vous répandrez au pied de vos massifs et arbustes dans votre jardin. En agissant de cette manière, vous optimiserez l’achat de votre sapin de Noël. Quant à votre arbre de Noël synthétique, on les collecte dans les déchetterie ou avec les ordures ménagères. Ou bien, gardez-le pour le prochain Noël, ce serait plus économique !

Les décorations de Noël, comment les gérer ?

Pour le sac à sapin dans lequel vous avez acheté votre arbre de Noël, on le collecte avec les ordures ménagères. Quant à vos guirlandes, qu’elles soient lumineuses ou non, on les collecte en priorité en magasin, sinon en déchetterie (qui accepte tous les appareils électriques et électroniques). Pour information, les guirlandes électriques sont de la famille des Déchets d’Equipement Electriques et Electroniques ou DEEE. Par contre, les guirlandes non lumineuses doivent être déposés avec les autres déchets ménagers. Faites de même pour les boules de Noël cassées (ou pas d’ailleurs) que vous ne voulez plus garder.

Comment détermine-t-on un produit dangereux ? Un produit est classé comme tel dans le cas où ses propriétés risquent de provoquer des menaces et des dommages sur l’Homme mais aussi sur l’environnement.

Ce qu’on appelle produits dangereux

Un produit dangereux peut être sous forme liquide ou bien solide, il peut être aussi la combinaison de plusieurs mélanges. Mais rassurez-vous, les produits dangereux sont encadrés par une réglementation des plus strictes aussi bien pour leur utilisation que pour leur manipulation, leur entreposage et leur transport. Selon leur propriétés physico-chimiques, leur nuisances dans le temps sur l’homme et sur l’environnement, ces matières dangereuses sont classées selon une classification de danger. Il en existe 9 classes. La loi impose que l’emballage des produits dangereux affiche un ou plusieurs pictogrammes de danger et des mentions précises de danger. Malheureusement, il arrive que des produits dangereux n’affichent ni pictogramme no mention de danger.

De quelles manières identifier les produits dangereux ?

Il faut savoir qu’il y a d’anciens et de nouveaux pictogrammes de danger. Lorsqu’il n’y a pas de pictogramme sur un emballage, il devrait au moins y avoir une mention de danger, souvent indiquée par un code commençant par H et suivi de quelques chiffres. Si on prend l’exemple du code H200, il signifie qu’il s’agit d’un explosif instable. Il existe aussi un code commençant par R suivi de plusieurs chiffres. Par exemple, le R10 veut dire que la substance est inflammable. Donc, parfois, ce sont des phrases de risques qui sont affichées. Si vous achetez des produits dangereux dans un magasin de bricolage par exemple, si la fiche de sécurité n’est pas dessus, demandez-la au magasin. Mais certains produits ne possèdent pas forcément de fiche de sécurité, à l’exemple des alcools alimentaires, les parfums, les cosmétiques, les désodorisants en aérosol et les produits phytopharmaceutiques.

Dans un logement, si l’intérieur est bien isolé, il y aura un minimum de perte en énergie. Ce qui veut dire que le ménage aura moins d’utilité à déclencher le système de chauffage et par conséquent, il réduira sa consommation énergétique. Cela a également un grand avantage sur l’environnement et en termes d’écologie. En effet, le ménage limitera l’émanation de gaz à effet de serre dans l’air, et préservera en même temps, la qualité de l’environnement. Comment assurer la bonne isolation de son habitat dans ce cas ?

L’isolation passe d’abord par le toit

Dès qu’on parle d’isolation d’une maison pour éviter la déperdition énergétique, il faut penser à la toiture. En effet, 30 % de l’énergie produite à la maison se perdent au niveau du toit s’il n’est pas bien isolé. Cela s’explique par la surface et la dimension conséquente de cette partie du logement, mais également, parce qu’il est le plus vulnérable et le plus en proie aux aléas climatiques et aux intempéries. Si vous voulez avoir une bonne isolation dans ce cas, pensez à commencer par le toit. En termes de travaux, c’est aussi le toit qui est le plus facile et le plus rapide à faire. Pour ce faire, il vous sera utile d’isoler soit de l’intérieur, soit de l’extérieur. Pour l’isolation extérieure, rien de plus simple, il est possible d’y planter toutes sortes de végétaux. C’est une solution efficace et rapide, mais qui vous demandera beaucoup d’entretiens. Elle permet aussi d’apporter de la verdure sur le bâtiment, malgré que cela ait un impact pouvant être négatif sur l’esthétique de votre habitation. Si vous voulez passer par l’isolation intérieure, il faudra d’abord bien situer les combles et connaitre leurs usages. Il existe en effet, des combles qui se destinent à être habité et ceux qu’on appelle perdus, et qui seront isolés grâce à des solives et des matières naturelles comme des cotons, de la laine, etc. Si les combles sont habités, on installera des rembourrages sous les rampants afin de diminuer la déperdition. Cependant, cela ne doit pas empêcher l’air de bien circuler étant donné que c’est un espace de vie.

L’isolation murale

En plus de la toiture, on peut aussi isoler les murs de l’extérieur comme de l’intérieur. Cela permet de limiter la déperdition à un taux de 10 à 40 %. De ce fait, quand on parle de l’isolation des murs, il est aussi important de considérer les fenêtres et les portes ou les baies vitrées. Chaque élément de vitrage devra être constitué de vitre double dans ce cas. Il existe également des vitres de type VIR ou vitre à isolation renforcée, qui sont également très efficaces et à adopter autant que possible. D’ailleurs, ils permettent de réduire jusqu’à 5 fois plus la déperdition de chaleur, par rapport à la vitre traditionnelle. Les experts disent même que ce type de vitre est particulièrement rentable étant donné que son achat est amorti après seulement deux ans, en vous faisant faire des économies d’énergie importantes. Pour les murs proprement dits, il est possible d’installer le système d’isolation derrière les contre-cloisons. On peut aussi choisir de l’appliquer directement sur le mur à isoler. Toutefois, il est recommandé d’opter pour la première option étant donné que l’application directe sur la surface du mur laisse encore échapper de la chaleur en laissant quelques apparitions de ponts thermiques sous la couche d’isolant. La solution la plus intéressante reste l’isolation des murs extérieurs. Cela permet aussi au propriétaire d’en profiter pour effectuer des travaux de ravalement, c’est-à-dire, la remise en l’état de la façade de la maison et sa remise à neuf. Pour ce faire, on peut appliquer des parements ou étaler de l’enduit sur la matière isolante qui va couvrir le mur. Cette solution permet aussi d’éviter la réduction et le réaménagement de l’espace de vie à l’intérieur.

Les problèmes de l’environnement ne concernent pas uniquement la France, c’est une catastrophe à l’échelle mondiale. La pollution et la dégradation en sont principalement les causes, et c’est l’écosystème dans son ensemble qui est affecté, fragilisé, ce sont de ressources vitales pour l’homme qui sont empoisonnées et menacées, c’est la vie de l’homme qui est en danger, pour ne citer que ces conséquences.

Quels sont les faits ?

En effet, il ne faut pas oublier que les dégâts causés à l’environnement impacte aussi sur la vie animale et végétale. Et que dire du réchauffement climatique ? Tous les pays du monde en est touché d’une manière ou d’une autre. Et ce n’est pas seulement le présent qui est menacé, c’est aussi l’avenir.

La pollution et la dégradation sont les faits de l’homme même

Evidemment que c’est l’homme même qui est à l’origine de la pollution et de la dégradation qui affectent notre environnement. C’est l’homme qui a, et continue, de troubler l’équilibre naturel de l’environnement notamment en raison de la surpopulation. Avec l’explosion démographique, il faut de plus en plus d’espace, raser de plus en plus de forêts, chercher plus de nourriture etc. Et puis, il y a la production de déchets en se servant de composants chimiques. Pour que cette production fonctionne, les usines doivent tourner à plein régime, de même que les industries. Les machines et les produits chimiques utilisées sont sources de gaz toxiques et nuisent à la santé de ceux qui vivent dans la région, voire plus loin. Donc, ces productions entraînent nécessairement une pollution de l’air mais aussi une pollution de l’eau et du sol. Les effets sont directs sur la santé de l’homme, des végétaux et des animaux. Et nous n’en sommes malheureusement plus au stade de la menace de nos jours, les maux sont bel et bien là.

Les déchets plastiques font parties des ordures les plus nuisibles pour la planète et pour l’environnement. En plus de prendre du temps à se désintégrer, ils dégagent aussi des polluants nocifs et peuvent boucher les systèmes de canalisation pour ensuite salir complètement un paysage agréable. Pour éviter d’éparpiller les déchets en plastique, rien ne vaut la limitation de son usage. Et pour réussir cette action, voici quelques idées bénéfiques pour l’environnement.

Des pratiques au quotidien qui sauvent l’environnement

Sur le marché, on a beaucoup de produits qui sont jetables. Le problème, c’est que ces derniers sont pour la plupart, fabriqués avec du plastique qui vont alors, être jetés partout et impactés grandement l’environnement. Pour éviter l’utilisation de ces derniers, on recommande l’usage des produits fabriqués avec des matériaux qu’on peut encore réutiliser, voire même, ceux qui sont conçus avec des matières qui se putréfient rapidement. Actuellement sur le marché, au lieu de risquer de casser des assiettes en porcelaine ou en verre en les emportant partout, des solutions d’assiettes à emporter fabriquer dans du bambou existent. Vous aurez le droit de ne pas les jeter, et de les réutiliser pour autre chose une fois à la maison. Il en est de même pour les autres éléments du couvert si vous allez en pique-nique. D’autres astuces peuvent être adoptées comme l’utilisation du bois ou encore, de carton pour éviter les plastiques. Par ailleurs, quand on mange à l’extérieur, c’est-à-dire, en emporter, on pousse aussi les commerçant et les restaurateurs surtout, dans le bouffe rapide, à produire une quantité très élevées de contenant en plastique. Cela est encore pire si on se lance dans les services qui permettent d’appeler un traiteur et de se faire livrer à la maison. Si vous voulez limiter la consommation en plastique, préférez la coction à la maison. Cette habitude permet d’imaginer des plats originaux, mais revient également moins cher que si vous vous faites livrés. De plus, vous n’aurez pas besoin de produire d’autres déchets en plastique avec le sachet et les barquettes qui ont servi à vous livrer. Ensuite, après avoir terminé, il est aussi conseillé de ne pas jeter les restes dans des sacs en plastiques. Mettez-les dans des contenants en verre et gardez-les quelques temps au frigo. Cela évite le gaspillage et l’utilisation abusive de plastique à travers les barquettes fabriquées dans cette matière toxiques, ou les films étirables.

D’autres comportements qui limitent votre utilisation de plastique

Une autre idée pour limiter la production et l’usage du plastique, c’est de réduire la fréquence d’achat. Il est préférable d’aller au shopping rarement et d’acheter en gros. Vous aurez la possibilité de demander des cartons pour mettre votre course dans ce cas, ou d’avoir un plus gros sachet en plastique que vous pouvez réutiliser plusieurs fois. On peut même choisir des cabas qui sont biodégradables, et des contenants en papier, pour vous éviter d’utiliser des sacs en plastique. Une autre astuce c’est de réduire l’achat de produits d’entretiens ménager. Ces derniers sont généralement, conditionnés dans des flacons en plastique qui deviennent nuisibles à force d’en posséder à la maison. De plus, en les jetant à la poubelle, ce n’est pas seulement le plastique qui détériorera l’environnement, mais aussi, le restant de produit même d’une quantité minime, dans le flacon. Des solutions naturelles peuvent vous éviter d’acheter ces produits, comme l’utilisation du bicarbonate de soude, de vinaigre, etc. Et enfin, il est recommandé de n’acheter que des produits de qualité. Cela peut revenir assez cher, mais ces derniers durent dans le temps que les produits bas de gamme faits de plastique. De plus, en achetant bas de gamme, vous devrez faire des achats fréquemment, ce qui augmentera encore plus, le volume de plastique que vous devez jeter et qui s’éparpilleront dans la nature.

C’est aujourd’hui et maintenant que chacun de nous doit agir en faveur de l’environnement et tous, nous sommes responsables pour faire avancer les choses. Ce ne sont pas seulement aux autorités et aux organismes et organisations dédiés de faire bouger les choses, tous, en faisant de petits gestes chaque jour, nous contribuons à la sauvegarde de la planète.

Il est urgent d’agir en faveur de l’environnement

Eh oui, vous le savez : nous commettons tous jour après jour des erreurs, ou appelons-les oublis quelquefois, qui, lorsqu’on les assemble, causent de gros dégâts à notre environnement. Donc, si vous voulez renverser la vapeur, agissez jour après jour, même si vous ne faites rien de grandiose. Pour commencer, pensez à trier vos déchets, ce qui est très facile en suivant tout simplement les indications sur les emballages. Les 3 principes qui doivent vous guider dans le tri sélectif sont 1/ les emballages en papier, en carton, en aluminium et en acier : direction bac de tri, 2/ de même pour les emballages en plastique (bouteilles et flacons), et 3/ les bouteilles, bocaux et pots, à déposer dans le conteneur à verre. Quant à la faïence et à la porcelaine ainsi que la vaisselle, ils ne se recyclent pas.

Limitez votre chauffage, débranchez !

Ne surchauffez pas votre maison, même en plein hiver, autour de 17°C suffit raisonnablement. Compensez en portant des bas, des pulls et en ajoutant des couvertures supplémentaires.Prenez l’habitude d’éteindre la lumière dès que vous quittez une pièce et faites la part belle aux ampoules LED. Pour vos appareils électriques, éteignez-les dès que vous ne les utilisez pas, ne les mettez pas en veille ! Faites de même pour vos chargeurs de téléphone, de tablettes, d’ordinateurs portables, vous auriez oublié qu’ils continuent d’utiliser l’électricité même quand ils ne servent pas ?

Si on se réfère au rapport du ministère de la Transition écologique publié l’an dernier, on a noté une légère amélioration de la qualité de l’eau des plans d’eau et des rivières, donc des eaux de surface.

Quel constat ?

Si cette amélioration a pu être constatée, c’est parce que l’utilisation des polluants dans les engrais et les détergents a été largement réduite, en l’occurrence les phosphates et les nitrates. Il faut dire également que les travaux de rénovation et de modernisation des stations d’épuration qui ont débuté en 2000 semblent efficaces et n’ont pas été vains. Cependant, malheureusement, dans ces eaux de surface, il a été relevé des substances qui ne s’y trouvaient pas auparavant, notamment des perturbateurs endocriniens et des résidus de médicaments. Que dire des eaux souterraines ? Selon le rapport, rien de positif. A partir de l’an 2000, sur les 22 000 forages de production d’eau, ce sont 2 400 qui ont été abandonnés à cause d’une pollution aux pesticides et au nitrates.

Et pour les eaux de baignade ?

Si telles sont les situations des eaux de surface et des eaux souterraines, qu’en est-il des eaux de baignade en France ? Avez-vous des raisons de craindre d’aller nager dans la mer ou d’y envoyer vos enfants barboter dans l’eau ? Le rapport du ministère de la Transition écologique indique qu’en règle générale, il n’y a pas de raison de s’inquiéter par rapport aux eaux de baignade, mais il faut tout de même savoir que de façon régulière, notre littoral subit des épisodes de marée verte. Cela est dû, une fois de plus, à un apport trop élevé en nitrates et en phosphates dans la mer et ce, via les cours d’eau. Mais on a gagné sur un point : grâce à la nouvelle réglementation, les rejets de substances polluantes sont considérablement réduits.