De manière générale, les activités économiques fonctionnent à partir des ressources naturelles et y rejettent des détritus. Ces ressources peuvent être le sol, l’eau, de l’énergie et différentes matières premières. Par l’expulsion des déchets tels que les fumées et les eaux usées, les activités industrielles contribuent grandement à la détérioration de l’environnement. Mais ils peuvent toujours adopter des solutions pour y remédier.

Des stratégies pour économiser les ressources

L’industrie utilise énormément de ressources non renouvelables. Le rejet de ces dernières présente un gros risque de dégrader les réserves. Ce qui mène à dire que les entreprises doivent impérativement penser à diminuer la consommation de ressources. Pour ce faire, elles peuvent recourir à la stratégie 4 R. Cette méthode propose 4 étapes à suivre.
En premier lieu, elle consiste à réduire la dépense des ressources combinées dans les produits et de minimiser, par la suite, les quantités à recycler. La seconde étape concerne le remplacement des ressources non renouvelables par des réserves renouvelables. Ensuite, la technique continue avec la réutilisation des matières premières pour les empêcher de devenir des détritus, et stopper la consommation des ressources. Enfin, la dernière étape consiste à recycler les déchets. Cette technique favorise convenablement la réduction des détritus, la protection des ressources jusqu’à la création d’emplois.
Pour appliquer la stratégie des 4 R, l’entreprise peut utiliser des matériaux renouvelables comme les métaux, les plastiques, le verre ou encore le papier. Pour consommer moins de réserves, il suffit d’avoir recours à des chutes ou de procéder au recyclage des déchets. Par ailleurs, il existe différentes infrastructures de qualité comme les réducteurs de pression ou le chauffage pour économiser en eau. L’entrepreneur ferait bien aussi d’encourager ses employés à privilégier les attitudes économes en ressources. Chaque salarié devra effectuer des gestes d’usage rationnel d’eau et d’énergie.

Les démarches pour minimiser l’effet nocif sur l’environnement

Bien qu’il soit impossible de lutter à cent pour cent contre la détérioration de l’environnement, la réduction des impacts est quand même possible. Sur ce point, l’entreprise devra commencer par combattre les nuisances et la pollution en prévenant à la source. Pour cela, il serait pratique d’adopter des procédés de fabrication qui respectent l’environnement. Cela implique en grande partie les technologies et produits propres. Les nuisances peuvent aussi diminuer par une pratique environnementale plus adéquate.
D’un autre côté, il serait judicieux de mettre en place des appareils permettant de prévenir l’accumulation de la nuisance de l’environnement. En guise d’exemple, la société peut instaurer une épuration des eaux, des isolations, des filtres ou encore une épuration de protection. Quant aux nuisances difficiles à minimiser, il faudra faire appel à un pollueur-payeur. Dans ce sens, l’usine ayant expulsé des polluants autour d’un site est dans l’obligation de régler elle-même les frais de dépollution du site. Sans compter le dédommagement des riverains.
Bref, les entreprises peuvent très bien participer à la protection de l’environnement, malgré le fait qu’elles soient en partie responsable des nuisances et de la pollution. Il leur suffit de suivre les techniques énoncées ci-dessus.

Comptant des milliers d’adeptes en France, la méditation de pleine conscience a le vent en poupe. Cette pratique spirituelle a le mérite d’être accessible à tout le monde. Les exercices sont simples à faire.

La méditation de pleine conscience écarte les polluants psychiques

Pour les néophytes, la méditation de pleine conscience permet de se déconnecter avec les idées qui inondent quotidiennement l’esprit. Il s’agit d’arrêter de « cogiter » pour se concentrer sur soi. La pratique stoppe momentanément les projections et les images mentales. Certaines personnes sont plongées dans leurs pensées au point d’oublier l’essentiel. En effet, les diverses divagations de l’esprit épuisent inutilement les ressources. C’est le même constat avec l’écologie. Les objets les plus futiles encombrent le quotidien. L’électronique à outrance forme une pollution visuelle. Outre les lumières et les clignotements débridés, les sons qui fusent de partout sont de véritables poids pour les oreilles. Les techniques méditatives « mindfullness » encouragent à se contenter d’entendre l’essentiel, en l’occurrence les bruits émis par la nature. Des cours pour savoir comment apprendre à méditer permettent de progresser et d’atteindre un haut degré d’élévation spirituelle.

Respecter l’équilibre biologique de son organisme

La méditation de pleine conscience a la particularité d’amplifier les envies naturelles. Après sa courte séance, une personne peut retrouver l’appétit. Il lui est facile ensuite d’avoir le sommeil. Ce sont des désirs primitifs que l’Homme moderne a tendance à oublier. Eh oui, il y a trop de sollicitation autour de lui qu’il n’arrive plus à distinguer ce qui lui fait réellement envie.

Après avoir médité, il est possible de manger ses plats et consommer des légumes et des ingrédients sains lui donnent du plaisir. Après la méditation, l’on peut avoir plus de motivation pour travailler, faire des exercices physiques, etc.

Retour à la source en renouant avec l’environnement

Il est possible de méditer avec la méthode « pleine conscience » où que vous soyez. Cependant, il est beaucoup plus agréable de faire l’exercice dans un cadre naturel. Certains méditants des pays reconnus comme meilleurs endroits pour méditer. Ces pays sont entre autres Bali, la Thaïlande, etc. Rassurez-vous, il n’est pas nécessaire de voyager aussi loin pour faire de la méditation. Beaucoup restent dans leur pays. Ils partent en montagne. D’autres optent pour une méditation en pleine forêt. Il y a également ceux qui se concentrent sur leur personne en étant à la plage. Certains se contentent d’une méditation dans le jardin, dans leur chambre à coucher, etc. Dans tous les cas, la technique permet de renouer avec l’environnement immédiat. Outre les bruits, les sons et les odeurs entrent en considération. Le méditant a tous ses sens éveillés. Il ressent même la caresse du vent sur sa peau. Après des années de pratique, il est possible d’éprouver une communion avec son environnement. Cette sorte de fusion replace l’Homme au cœur de toute une écologie complexe. C’est aussi l’un des objectifs de l’approche « mindfullness ». Tout cela semble abstrait, mais en réalité, il s’agit de techniques assez simples à mettre en pratique, avec l’aide d’un bon coach.

Selon le ministère de la Transition écologique, le constat est sans appel pour la France : nous avons dépassé la majorité des neuf seuils des neuf variables assurant le développement heureux de l’homme. Quel triste bilan !

Nous sommes dans le rouge !

Cette déclaration publiée dans le dernier rapport 2019 du ministère de tutelle nous fait toucher du doigt le problème de l’environnement en France. Bien sûr, quelques progrès ont été effectués, mais sinon, dans plusieurs domaines, nous sommes dans le rouge, et pas qu’un peu ! Prenons l’exemple de l’air extérieur. Il a été relevé que les émissions d’oxydes d’azote ont considérablement diminué (49%) entre 2000 et 2017. Ce qui veut dire qu’il y a moins de rejets de polluants dans l’air extérieur. Cependant, dans un bon nombre d’agglomérations, les seuils réglementaires de protection de santé ont été dépassés et la population est exposée à de la pollution aux oxydes d’azote de façon régulière. Ces dépassements sont responsables de la mort prématurée de 48 000 personnes environ chaque année. Rien qu’en l’année 2014, les polluants de l’air intérieur aurait provoqué la mort de 20 000 citoyens.

Et pour les gaz à effet de serre ?

L’objectif du gouvernement est de baisser le taux d’émissions des gaz à effet de serre. Entre 1990 et 2017, ces émissions ont baissé de 18 % mais comparé à l’objectif de la France, on est encore loin du compte. En effet, l’objectif cible est de 1,6 à 2,8 tonnes par an et par habitant d’ici l’année 2100. Or, en 2017, chaque habitant en France a émis 4,9 tonnes de CO2 avec une empreinte carbone de 7,9 tonnes ! Quant aux émissions de gaz à effet de serre des voitures et autres véhicules, et celles des résidences et du secteur tertiaire, la situation est tout aussi alarmante.

La pollution de l’air est un facteur incontrôlable du déséquilibre écologique. Les polluants de l’air sont nombreux et d’origines diverses. Le pire c’est qu’ils ne connaissent pas de barrière ; emportées par le vent, les particules polluantes peuvent contaminer l’air au-delà des frontières, même en campagne. D’où proviennent-ils et que peut-on faire pour les réduire ?

Les polluants atmosphériques d’origine industrielle

Plus la population est dense, la ville industrielle, plus la concentration des polluants est forte. Cette dernière varie également en fonction des saisons. En tout cas, la pollution peut s’étendre jusqu’à 800 km aux abords de sa provenance, les aires routières et les grandes industries. Les principaux polluants de l’air, et les plus toxiques pour la santé publique sont l’ozone (O3), le monoxyde de carbone, de dioxyde de soufre et le dioxyde de soufre. Ils peuvent se trouver à tous les stades : de la production en industrie à la consommation ménagère. Les industries sont également à la source de l’émission de métaux lourds (nickel, plomb, cadmium, arsenic et mercure) dans l’atmosphère ; et qui ne restent pas seulement dans l’air, mais se répandent dans le sol et dans les eaux. A tout ceci s’ajoute l’ammoniac déversé dans l’air par le secteur agricole, notamment lors de l’épandage de lisier animal ou la fabrication d’engrais ammoniaqués.

Les moyens de transport : les hydrocarbures et leurs dérivés

Les polluants atmosphériques émis par les moyens de transport (terrestre et aérien) sont aussi considérables. D’ailleurs, les voitures et les avions (gros consommateurs de carburants) sont exhalent les mêmes gaz nocifs que les industries, qui attaquent non seulement la couche d’ozone, mais surtout notre système cardiovasculaire, nos organes de sens (la peau, la vue,…). La plupart des particules, fines, sont même cancérigènes. Le dioxyde d’azote, par exemple, émane de la combustion dans les moteurs diesel des voitures, des bateaux et autres machines industrielles (centrales électriques). Il favorise également la formation des aérosols de nitrate qui représentent la plus grande part d’ozone ( à distinguer de la couche d’ozone, couche de protection atmosphérique). L’ozone est un autre polluant dangereux produit en majeure partie par les moyens de transport routier. L’O3 se forme après la réaction chimique sous l’effet du soleil des mélanges oxydes d’azote – composants organiques volatils issus des hydrocarbures et les solvants utilisés par les véhicules. D’où l’impérieuse nécessité de se tourner vers les voitures écologiques.

Les polluants de l’air d’origine ménagère

Les émissions de gaz polluants d’origine ménagère ne sont pas moindres. Ils proviennent en général des systèmes de chauffage qui reposent sur les combustibles fossiles qui sont le charbon, le pétrole et le méthane. Leur exploitation est à la source du quorum des gaz à effet de serre. En effet, le gaz carbonique est désormais en concentration excessive dans l’atmosphère. Non seulement, ils provoquent le déséquilibre écologique en trouant la couche d’ozone et le réchauffement climatique, les systèmes de chauffage traditionnel des ménagers tendent à épuiser les ressources naturelles de notre planète. Ainsi au lieu de brûler des bois et de puiser les gaz naturels, optons pour l’énergie verte et renouvelable. Par ailleurs, la combustion des déchets ménagers est déconseillée afin de diminuer la production de dioxyde soufre.

Les problèmes de l’environnement ne concernent pas uniquement la France, c’est une catastrophe à l’échelle mondiale. La pollution et la dégradation en sont principalement les causes, et c’est l’écosystème dans son ensemble qui est affecté, fragilisé, ce sont de ressources vitales pour l’homme qui sont empoisonnées et menacées, c’est la vie de l’homme qui est en danger, pour ne citer que ces conséquences.

Quels sont les faits ?

En effet, il ne faut pas oublier que les dégâts causés à l’environnement impacte aussi sur la vie animale et végétale. Et que dire du réchauffement climatique ? Tous les pays du monde en est touché d’une manière ou d’une autre. Et ce n’est pas seulement le présent qui est menacé, c’est aussi l’avenir.

La pollution et la dégradation sont les faits de l’homme même

Evidemment que c’est l’homme même qui est à l’origine de la pollution et de la dégradation qui affectent notre environnement. C’est l’homme qui a, et continue, de troubler l’équilibre naturel de l’environnement notamment en raison de la surpopulation. Avec l’explosion démographique, il faut de plus en plus d’espace, raser de plus en plus de forêts, chercher plus de nourriture etc. Et puis, il y a la production de déchets en se servant de composants chimiques. Pour que cette production fonctionne, les usines doivent tourner à plein régime, de même que les industries. Les machines et les produits chimiques utilisées sont sources de gaz toxiques et nuisent à la santé de ceux qui vivent dans la région, voire plus loin. Donc, ces productions entraînent nécessairement une pollution de l’air mais aussi une pollution de l’eau et du sol. Les effets sont directs sur la santé de l’homme, des végétaux et des animaux. Et nous n’en sommes malheureusement plus au stade de la menace de nos jours, les maux sont bel et bien là.

C’est aujourd’hui et maintenant que chacun de nous doit agir en faveur de l’environnement et tous, nous sommes responsables pour faire avancer les choses. Ce ne sont pas seulement aux autorités et aux organismes et organisations dédiés de faire bouger les choses, tous, en faisant de petits gestes chaque jour, nous contribuons à la sauvegarde de la planète.

Il est urgent d’agir en faveur de l’environnement

Eh oui, vous le savez : nous commettons tous jour après jour des erreurs, ou appelons-les oublis quelquefois, qui, lorsqu’on les assemble, causent de gros dégâts à notre environnement. Donc, si vous voulez renverser la vapeur, agissez jour après jour, même si vous ne faites rien de grandiose. Pour commencer, pensez à trier vos déchets, ce qui est très facile en suivant tout simplement les indications sur les emballages. Les 3 principes qui doivent vous guider dans le tri sélectif sont 1/ les emballages en papier, en carton, en aluminium et en acier : direction bac de tri, 2/ de même pour les emballages en plastique (bouteilles et flacons), et 3/ les bouteilles, bocaux et pots, à déposer dans le conteneur à verre. Quant à la faïence et à la porcelaine ainsi que la vaisselle, ils ne se recyclent pas.

Limitez votre chauffage, débranchez !

Ne surchauffez pas votre maison, même en plein hiver, autour de 17°C suffit raisonnablement. Compensez en portant des bas, des pulls et en ajoutant des couvertures supplémentaires.Prenez l’habitude d’éteindre la lumière dès que vous quittez une pièce et faites la part belle aux ampoules LED. Pour vos appareils électriques, éteignez-les dès que vous ne les utilisez pas, ne les mettez pas en veille ! Faites de même pour vos chargeurs de téléphone, de tablettes, d’ordinateurs portables, vous auriez oublié qu’ils continuent d’utiliser l’électricité même quand ils ne servent pas ?

Si on se réfère au rapport du ministère de la Transition écologique publié l’an dernier, on a noté une légère amélioration de la qualité de l’eau des plans d’eau et des rivières, donc des eaux de surface.

Quel constat ?

Si cette amélioration a pu être constatée, c’est parce que l’utilisation des polluants dans les engrais et les détergents a été largement réduite, en l’occurrence les phosphates et les nitrates. Il faut dire également que les travaux de rénovation et de modernisation des stations d’épuration qui ont débuté en 2000 semblent efficaces et n’ont pas été vains. Cependant, malheureusement, dans ces eaux de surface, il a été relevé des substances qui ne s’y trouvaient pas auparavant, notamment des perturbateurs endocriniens et des résidus de médicaments. Que dire des eaux souterraines ? Selon le rapport, rien de positif. A partir de l’an 2000, sur les 22 000 forages de production d’eau, ce sont 2 400 qui ont été abandonnés à cause d’une pollution aux pesticides et au nitrates.

Et pour les eaux de baignade ?

Si telles sont les situations des eaux de surface et des eaux souterraines, qu’en est-il des eaux de baignade en France ? Avez-vous des raisons de craindre d’aller nager dans la mer ou d’y envoyer vos enfants barboter dans l’eau ? Le rapport du ministère de la Transition écologique indique qu’en règle générale, il n’y a pas de raison de s’inquiéter par rapport aux eaux de baignade, mais il faut tout de même savoir que de façon régulière, notre littoral subit des épisodes de marée verte. Cela est dû, une fois de plus, à un apport trop élevé en nitrates et en phosphates dans la mer et ce, via les cours d’eau. Mais on a gagné sur un point : grâce à la nouvelle réglementation, les rejets de substances polluantes sont considérablement réduits.