L’écologie est une science mise au service de l’homme pour en apprendre davantage sur l’interaction entre les êtres vivants et son milieu avec comme but de préserver l’écosystème, la biodiversité et l’environnement naturel dans lequel ils vivent.
La protection de ce milieu ne se limite cependant pas à des gestes qu’on nous apprend depuis notre enfance comme planter des arbres, éviter les feux de brousses… Elle peut se manifester sous plusieurs formes.

Les gestes écologiques

Être écologique c’est facile ! On peut très bien faire de l’écologie quotidiennement en changeant notre mode de vie. Mais ne vous inquiétez pas, ce n’est pas comme si on allait vous privez de quelque chose ou vous obligez à faire telle ou telle chose dont vous n’ avez pas envie. Il est préférable d’utiliser le vélo ou la marche à pied pour vous déplacer car non seulement ça vous fera du bien mais cela limitera également la production de CO2. D’un autre côté aussi, vous pouvez optez pour la décoration écologique, en plus d’être plaisant, vous participerez à la protection de l’environnement. Il y a aussi consommation des aliments végétaux, vous allez me dire que c’est impensable de ne plus manger de viande ni de consommer du lait. Il existe plusieurs aliments végétaux qui disposent des mêmes apports caloriques, dans ce cas je vous conseillerai la consommation de ces aliments car même qu’un peu, c’est mieux que rien.

Une maison écologique serait une bonne idée

Comme on l’a dit précédemment, même les petits gestes comptent donc une maison écologique est idéale pour affirmer son engagement. Bien-sûr, une maison écologique vous permet de vous imprégner du concept et d’abonder dans le sens de l’écologie. C’est donc une bonne idée.
Le bois est une matière naturelle mais également facile à trouver et à utiliser. Vous pouvez vous en servir pour l’aménagement de votre sol avec de larges choix comme le bambou, les parquets en bois, la moquette en jute ou coco. Les meubles qui sont faits en bois sont aussi très facile à se procurer. Le bois aussi peut être utilisé pour le plafond, les escaliers, les isolants, les portes et fenêtres… Ce serait vraiment écolo aussi si vous installiez des fenêtres de toit afin de limiter l’utilisation de chauffage, ou bien il y aussi les revêtements muraux écologiques.

Si vous n’avez pas prêté attention à la qualité de l’air dans votre intérieur auparavant, aujourd’hui, avec la pandémie du Covid-19, vous ne pouvez plus vous permettre une telle négligence. Il y va de votre santé et de celle de votre famille. Les méthodes naturelles, bien entendu, sont les meilleures pour assainir l’intérieur. Que sont-elles ?

Dépolluez votre intérieur

Contrairement à ce que beaucoup tendent à penser, l’air dans nos intérieurs n’est pas aussi sain que cela. En effet, les sources de pollution ne manquent pas : l’humidité, les moisissures, les revêtements de sol et les moquettes (qui peuvent abriter des acariens), les résidus de peinture, etc. Les bougies parfumées, bien qu’elles donnent une odeur plaisante, sont aussi source de pollution, de même que les appareils à combustion. N’oubliez pas vos animaux (chien, chat, perroquet, cochon d’Inde, etc.). Ils sont mignons et adorables, mais polluent tout de même l’air que vous respirez chez vous. Tout cela peut entraîner des conséquences plus ou moins graves sur votre santé. Un membre de votre famille risque de développer des allergies, souffrir de fréquents maux de tête ou d’irritations des voies respiratoires. Or, vous le savez, une fragilité au niveau des fonctions respiratoires est un terrain favorable pour le coronavirus. Bref, il est temps de songer à mettre en place une dépollution systématique et régulière de votre intérieur. La première chose à faire, et la plus simple d’ailleurs, c’est d’aérer votre maison, même en plein hiver. Ouvrez portes et fenêtres au moins une dizaine de minutes par jour. Cela doit se faire tôt le matin, en plein midi ou le soir.

Quelques méthodes pour assainir efficacement

Les méthodes naturelles sont les meilleures pour assainir votre intérieur. Prenez quelques tiges de lavande (si vous en avez dans votre jardin, c’est parfait), faites-les sécher. Dans une petite coupelle, brûlez ces tiges. Non seulement la merveilleuse odeur remplira votre maison, mais elle l’assainira également.

Si vous avez des odeurs pas très agréables qui ne se dissipent pas, utilisez du bicarbonate de soude. Mettez-en juste 2 cuillères à soupe dans une coupelle et placez celle-ci dans la pièce à désodoriser et le tour est joué !

Si vous aimez les encens, optez pour l’écorce de styrax que vous brûlerez sur un morceau de charbon à encens. Autant que possible, évitez les bâtons à encens qui sont toxiques.

Le blog ma maison ma santé conseille également les huiles essentielles. Elles sont les meilleures solutions pour purifier l’air et assainir votre intérieur. Celles de citron, de lavande officinale, d’eucalyptus radié, de romarin à cinéole, de pin sylvestre et de pamplemousse sont les meilleures. Elles sont connues pour leurs vertus antiseptiques, antibactériennes et antivirales. Vous pouvez en mettre aussi bien à l’entrée que dans le séjour, dans la salle de bains et dans les toilettes, à la cuisine comme dans les chambres à coucher. Les senteurs qui s’en dégagent sont douces, mais surtout, elles assainissent l’intérieur.

Enfin, vous pouvez installer des plantes dépolluantes dans votre intérieur. Parmi les plantes que vous pouvez choisir, il y a le Ficus ginseng, le Tillandsia et l’Anthurium.

En ce moment, vous faites le projet d’entreprendre quelques travaux de rénovation chez vous. Vous voulez commencer par la peinture, vous en avez un peu marre de celle que vous avez. Vos enfants aussi veulent une nouvelle peinture dans leurs chambres à coucher, ils ont grandi, c’est normal que leurs goûts changent aussi. Vous réfléchissez à ce qui est mieux et durable, à ce qui est bon pour la santé de votre famille et qui ne soit pas ruineux non plus. La peinture écologique réunit la plupart de ces conditions.

Pourquoi choisir la peinture écologique ?

Comme son nom l’indique, il est question de peinture naturelle, donc, par principe, c’est une produit qui n’est ni toxique ni nocif pour la santé. Cette peinture ne représente aucun danger pour la santé, aussi, vous pouvez l’appliquer aussi bien dans la chambre de bébé que dans celle de vos parents âgés. Elle ne contient que des ingrédients naturels et ne comporte pas de composés organiques volatiles. Il s’agit donc d’un produit inoffensif et que vous supervisiez les travaux des peintres engagés ou que vous fassiez vous-même les travaux, la peinture écologique n’entamera pas votre santé, soyez-en sûr.

Une très grande imperméabilité

L’une des caractéristiques exceptionnelles de la peinture écologique, c’est sa grande imperméabilité. Contrairement aux peintures à l’huile et acryliques, la peinture écologique permet l’évacuation de l’humidité interne des supports ou des surfaces. Elle a des propriétés respirantes et micro-poreuses, donc parfaite pour toutes les pièces, que ce soit dans les chambres à coucher, à la cuisine, à la salle de bain ou au séjour. Imperméable et lavable, la peinture écologique réunit toutes les conditions que vous recherchez pour une maison parfaitement rénovée. Sauf qu’elle est assez coûteuse, le seul hic pour cette peinture d’exception.

Le choix d’un chauffage ne doit pas se faire au hasard. Il est important de déterminer vos besoins afin de mieux maîtriser vos dépenses en énergie. En fonction de ces besoins, vous pourrez choisir parmi les principaux types de chaudières ci-dessous.

La chaudière électrique

La chaudière électrique est votre meilleur choix si vous souhaitez obtenir un bon rendement avec un coût initial faible. Avec une chaudière électrique, vous pouvez facilement atteindre le rendement de 100 %. De plus, ce type de chaudière est relativement facile à installer. Il suffit de le brancher sur le secteur pour l’alimenter. Il ne produit aucun gaz polluant et il est facile à maintenir. Si vous n’avez pas accès au gaz de ville, cette option peut vous convenir. Son principal inconvénient, c’est que l’électricité est encore une source d’énergie coûteuse. Vous risquez par conséquent d’avoir une facture assez importante selon l’utilisation que vous en ferez.

La chaudière à gaz

Ce type de chaudière fonctionne par la combustion de gaz naturel. Le gaz naturel est moins polluant, ce qui place la chaudière à gaz parmi les solutions les plus écologiques du marché. Si votre foyer peut être raccordé au gaz de ville, cette option peut être économique sur le long terme. Il faut savoir que le gaz est moins cher que l’électricité. L’inconvénient, c’est que le prix d’une chaudière à gaz est assez conséquent. Mais une chaudière à gaz est facile à entretenir. Elle doit aussi faire l’objet d’entretien régulier. Il faut également faire attention à certaines règles de sécurité, car les chaudières à gaz peuvent être à l’origine de dangers mortels comme les cas d’intoxication et les risques d’explosion.

La chaudière à bois (bûches ou pellets)

Comme son nom le sous-entend, ce type de chaudière utilise du bois comme combustible. En dépit des apparences, les chaudières à bois sont tout à fait écologiques. De plus, le bois et le pellet sont des sources d’énergie bon marché. Les appareils modernes polluent moins et ils peuvent parfois dépasser un rendement de 85 % pour une chaudière à bûches. Ce type de combustible vous convient si vous avez un espace de stockage approprié. Si c’est le cas, sachez que vous pouvez trouver sur le marché des chaudières à granules et à pellets. Ce guide sur https://www.prioriterre.org/les-differents-types-de-chauffage/guide-chaudieres/guide-chaudiere-a-granules-bois-ou-a-pellets/ vous permet de faire un choix réfléchi. Ceci étant, il convient quand même de noter que l’inconvénient avec le chauffage à bois, c’est que vous devez l’alimenter manuellement. Pour plus d’autonomie, vous pouvez opter pour une chaudière à pellet. Elle offre un rendement pouvant atteindre 95 %, mais elle est plus coûteuse à l’achat et nécessite un espace de stockage parfaitement sec pour les granulés.

La chaudière au fioul

La chaudière au fioul est assez similaire à la chaudière au gaz. Ce type de chaudière convient aux foyers ayant une très grande surface. Il est nécessaire d’utiliser un grand réservoir pour stocker le fioul. L’avantage par rapport au gaz c’est que le fioul n’est pas dépendant d’un réseau de distribution. Il est possible de vous en approvisionner, peu importe le lieu où vous habitez. Ce type de chaudière revêt malgré tout de nombreux inconvénients. Le premier, c’est son coût à l’achat qui est élevé. Le deuxième inconvénient réside dans son impact environnemental. Il faut savoir que le fioul est la source d’énergie la plus polluante lorsqu’il s’agit de chauffage.

Dans un logement, si l’intérieur est bien isolé, il y aura un minimum de perte en énergie. Ce qui veut dire que le ménage aura moins d’utilité à déclencher le système de chauffage et par conséquent, il réduira sa consommation énergétique. Cela a également un grand avantage sur l’environnement et en termes d’écologie. En effet, le ménage limitera l’émanation de gaz à effet de serre dans l’air, et préservera en même temps, la qualité de l’environnement. Comment assurer la bonne isolation de son habitat dans ce cas ?

L’isolation passe d’abord par le toit

Dès qu’on parle d’isolation d’une maison pour éviter la déperdition énergétique, il faut penser à la toiture. En effet, 30 % de l’énergie produite à la maison se perdent au niveau du toit s’il n’est pas bien isolé. Cela s’explique par la surface et la dimension conséquente de cette partie du logement, mais également, parce qu’il est le plus vulnérable et le plus en proie aux aléas climatiques et aux intempéries. Si vous voulez avoir une bonne isolation dans ce cas, pensez à commencer par le toit. En termes de travaux, c’est aussi le toit qui est le plus facile et le plus rapide à faire. Pour ce faire, il vous sera utile d’isoler soit de l’intérieur, soit de l’extérieur. Pour l’isolation extérieure, rien de plus simple, il est possible d’y planter toutes sortes de végétaux. C’est une solution efficace et rapide, mais qui vous demandera beaucoup d’entretiens. Elle permet aussi d’apporter de la verdure sur le bâtiment, malgré que cela ait un impact pouvant être négatif sur l’esthétique de votre habitation. Si vous voulez passer par l’isolation intérieure, il faudra d’abord bien situer les combles et connaitre leurs usages. Il existe en effet, des combles qui se destinent à être habité et ceux qu’on appelle perdus, et qui seront isolés grâce à des solives et des matières naturelles comme des cotons, de la laine, etc. Si les combles sont habités, on installera des rembourrages sous les rampants afin de diminuer la déperdition. Cependant, cela ne doit pas empêcher l’air de bien circuler étant donné que c’est un espace de vie.

L’isolation murale

En plus de la toiture, on peut aussi isoler les murs de l’extérieur comme de l’intérieur. Cela permet de limiter la déperdition à un taux de 10 à 40 %. De ce fait, quand on parle de l’isolation des murs, il est aussi important de considérer les fenêtres et les portes ou les baies vitrées. Chaque élément de vitrage devra être constitué de vitre double dans ce cas. Il existe également des vitres de type VIR ou vitre à isolation renforcée, qui sont également très efficaces et à adopter autant que possible. D’ailleurs, ils permettent de réduire jusqu’à 5 fois plus la déperdition de chaleur, par rapport à la vitre traditionnelle. Les experts disent même que ce type de vitre est particulièrement rentable étant donné que son achat est amorti après seulement deux ans, en vous faisant faire des économies d’énergie importantes. Pour les murs proprement dits, il est possible d’installer le système d’isolation derrière les contre-cloisons. On peut aussi choisir de l’appliquer directement sur le mur à isoler. Toutefois, il est recommandé d’opter pour la première option étant donné que l’application directe sur la surface du mur laisse encore échapper de la chaleur en laissant quelques apparitions de ponts thermiques sous la couche d’isolant. La solution la plus intéressante reste l’isolation des murs extérieurs. Cela permet aussi au propriétaire d’en profiter pour effectuer des travaux de ravalement, c’est-à-dire, la remise en l’état de la façade de la maison et sa remise à neuf. Pour ce faire, on peut appliquer des parements ou étaler de l’enduit sur la matière isolante qui va couvrir le mur. Cette solution permet aussi d’éviter la réduction et le réaménagement de l’espace de vie à l’intérieur.