Avec l’achat d’imprimantes laser, la consommation de papier a augmenté d’année en année. Plus de population, plus de demande ! Cependant, l’industrie du papier est à l’origine de la pollution. Afin de réduire les exigences de production, nous pouvons recycler le papier usagé.

Processus de recyclage des vieux papiers

Avant tout, vous devez récupérer le carton ou le papier déjà utilisé. Puis, à l’aide des méthodes mécaniques et chimiques, il faut le convertir à nouveau en pâte de cellulose. Pour ce faire, on utilise le pulper, il s’agit d’une machine qui sectionne les fibres formant le papier avec de l’eau.
La pâte obtenue est traitée avec des additifs pour restaurer les caractéristiques voulues, telles que la blancheur. Ensuite, elle est tamisée et placée en une fine couche sur un tissu poreux. C’est comme ça le processus de séchage commence. Ensuite, le tambour essorera l’eau restante pour un meilleur séchage, puis la pâte sera exposée à la chaleur avant de presser le tout.

Recycler chez vous

Si vous possédez une imprimante laser à la maison, vous disposez certainement du papier à recycler. C’est amusant de terminer ce processus chez vous. Vous ne posséderez pas les mêmes moyens techniques, mais il n’est pas impossible. Découpez les feuilles usées en morceaux et placez-les toutes dans un seau d’eau pendant la nuit.
Puis, additionnez deux parts d’eau pour une part d’ingrédients dans un Blender. Placer la pâte obtenue uniformément sur une maille de fer. Après 12 h, passez du rouleau par-dessus pour éliminer l’eau restante. Patientez 24 h et vous pouvez utiliser le papier recyclé.

Quelques conseils d’usage du papier

Apportez votre papier au centre de collecte. Ce sont des associations ou des entreprises qui se chargent du recyclage des enveloppes et autres matériaux. Il doit y en avoir près de chez vous !
Reprenez le papier pour emballer les objets. Ce dernier est une bonne alternative pour protéger les objets fragiles que vous voulez conserver. Vous pouvez également l’utiliser pour protéger la surface lorsque vous peignez à la maison.

Enfin, avec une clé USB, vous pouvez conserver un grand nombre de fichiers sans avoir à imprimer une page. Emportez les clés avec vous à tout moment.

Comment détermine-t-on un produit dangereux ? Un produit est classé comme tel dans le cas où ses propriétés risquent de provoquer des menaces et des dommages sur l’Homme mais aussi sur l’environnement.

Ce qu’on appelle produits dangereux

Un produit dangereux peut être sous forme liquide ou bien solide, il peut être aussi la combinaison de plusieurs mélanges. Mais rassurez-vous, les produits dangereux sont encadrés par une réglementation des plus strictes aussi bien pour leur utilisation que pour leur manipulation, leur entreposage et leur transport. Selon leur propriétés physico-chimiques, leur nuisances dans le temps sur l’homme et sur l’environnement, ces matières dangereuses sont classées selon une classification de danger. Il en existe 9 classes. La loi impose que l’emballage des produits dangereux affiche un ou plusieurs pictogrammes de danger et des mentions précises de danger. Malheureusement, il arrive que des produits dangereux n’affichent ni pictogramme no mention de danger.

De quelles manières identifier les produits dangereux ?

Il faut savoir qu’il y a d’anciens et de nouveaux pictogrammes de danger. Lorsqu’il n’y a pas de pictogramme sur un emballage, il devrait au moins y avoir une mention de danger, souvent indiquée par un code commençant par H et suivi de quelques chiffres. Si on prend l’exemple du code H200, il signifie qu’il s’agit d’un explosif instable. Il existe aussi un code commençant par R suivi de plusieurs chiffres. Par exemple, le R10 veut dire que la substance est inflammable. Donc, parfois, ce sont des phrases de risques qui sont affichées. Si vous achetez des produits dangereux dans un magasin de bricolage par exemple, si la fiche de sécurité n’est pas dessus, demandez-la au magasin. Mais certains produits ne possèdent pas forcément de fiche de sécurité, à l’exemple des alcools alimentaires, les parfums, les cosmétiques, les désodorisants en aérosol et les produits phytopharmaceutiques.